La marseillaise (des bons français)
Allons buveurs de la patrie
Le jour des cuites est arrivé
Contre-nous cette horrible vie
Qui, de l’alcool, veut nous séparer
Qui, de l’alcool, veut nous séparer
Bourrons-nous la gueule au champagne
Et disons tous non au coca
Pour pouvoir finir dans ses bras
Bien sûr, sans le dire à nos campagnes.
Au bar, on y est bien
Servez-nous nos boissons
Buvons, buvons,
Pas de voiture
On préfère faire les cons.
Dirigeons-nous tous vers les caves
D’une traite pour tout s’enfiler
Non, à ces ignobles betteraves
Qui, en jus, nous ont écoeurées
Qui, en jus, nous ont écoeurées
Français ! Pour nous, ah quel outrage !
D’avoir du cela goûter
Il faut maintenant oublier
Et retourner à nos vrais breuvages.
Quoi ! Quelques bouteilles de bière
Feraient la loi dans nos foyers ?
Quoi ! Et vous vous croyez fiers
D’avoir bu de l’alcool à 6 degrés ?
D’avoir bu de l’alcool à 6 degrés ?
Grand Dieu ! Par des soirées arrosées
Vous comprendrez ce qu’est être bourré
Que ce soit vodka, gin ou belay’s
Ce sont eux nos grandes destinées !
Tremblez tyrans ! et vous perfides
Vous qui voulez déshydrater nos vies
Tremblez, on ne veut plus de vos acides
Nous on veut boire à tout prix
Nous on veut boire à tout prix
Tout est bouteille pour nous abattre
L’alcool nous rend libres et égaux
Vive la tequila, le passoa, le Soho
Contre vous tous prêts à se battre !
Français, en guerriers drôlissimes
Portez, ne retenez vos coups
Epargnez aucune victime
Qui se dresse entre l’alcool et vous
Qui se dresse entre l’alcool et vous
Mais ces connards anti-bière
Mais ces cons qu’aiment pas s’amuser
Tous ceux qui préfère faire la guerre
Plutôt que de finir le Bellay’s.
Nous irons tous boire des bières
Quand il n’y aura plus de Malibu
On se retrouvera tous par terre
A force de boire 10L d’un coup
A force de boire 10L d’un coup
Bien plus marrant pour bien vomir
Que de partager leur cercueil
Nous pourrons nous bourrer la gueule
Et enfin vivre ou mourir !!
Amour sacrée pour le whiskey
Conduis, soutiens nos bras tombeurs
Grand Marnier, grand Marnier chéri
Tu nous rends vraiment mal au cœur
Tu nous rends vraiment mal au cœur
Dans les tavernes, on va boire
On se saoulera de but en blanc
Et alors sera le vrai gagnant
Celui qui arrive à sortir du bar.